Le Comptoir des dieux
Les mythes d’hier nous parlent d’aujourd’hui.
Lisez en ligne un roman conte philosophique inédit et des récits mythologiques
Le Comptoir des dieux
Voici un roman qui explore la pensée mythique, c’est à dire la croyance selon laquelle la vie sur la terre dépend de puissances supérieures et invisibles, de nature non humaine, qu’on appelle des dieux et des déesses.
Les dieux évoqués dans ce récit sont universels depuis l’origine de l’humanité : le soleil, la lune, les étoiles, le temps…
Mon roman ne se situe pas en un lieu ni en un temps actuels. Il est purement imaginaire. Ses personnages reprennent les archétypes des mythes et des contes : le roi, la reine, la princesse, le guerrier, le prêtre ou des archétypes moraux : le traître, le cupide…
Chaque personnage cherche à affirmer son pouvoir, par différents moyens : la loi, la raison, la ruse, la violence contrôlée, la violence aveugle…
Les thèmes apparaissant dans le roman sont aussi ceux des mythes. C’est pourquoi, chaque chapitre propose des liens avec des articles sur les mythes et les contes.
Qui suis-je ?
Je suis retraitée de divers métiers en rapport avec les livres.
Je suis ancienne élève de l’Ecole du Louvre et ce site me permet de me replonger dans le monde des musées.
La mythologie est une passion d’enfance jamais assouvie. Ma thèse d’anthropologie historique à l’Ecole des hautes études en sciences sociales parlait de « La littérature populaire dans les almanachs gascons des XIXe et XXe siècles ». À l’époque (1983), je m’intéressais aux rapports entre oralité et écriture, transmission et création.
Ma façon d’écrire le roman est un hommage aux contes et aux conteurs.
Du point de vue religieux, je suis agnostique (je pense que l’Absolu est inconnaissable) mais je pense qu’on peut le chercher quand même ; je suis de culture chrétienne.
Ma part secrète de pensée mythique : je crois que les plantes sont des êtres sensibles qui aiment qu’on leur parle et j’ai un ange gardien qui m’aide à trouver des places de parking.
Merci
Un grand merci à Michel Julliard, qui m’a gracieusement autorisée à utiliser sa peinture “Tout à son rêve” comme image d’accueil du roman.
Un grand merci aux photographes de la communauté Wikicommons dont les images libres de droits apportent une vraie lumière à mes articles. Pour chaque photo, j’ai copié aussi soigneusement que possible les références. S’il en manque, c’est qu’aucune mention d’origine n’était précisée pour cette photo.